Christian Clavier a donné des conseils aux acteurs qui font parti du casting de Qu’est ce qu’on a fait au Bon Dieu, dont Ary Abittan.
Le Journal de France rappelle les confidences de Christian Clavier qui assure avoir livré quelques conseils aux plus jeunes. « Un peu oui, les jeunes viennent se frotter à la ‘vieille bête’ que je suis pour bénéficier de son expérience », rapporte premièrement la publication concernant ses propos.
« L’âge impose cela naturellement, on ne peut rien y faire. Mais, ça m’amuse, ça me booste, et ça me permet d’accomplir mon devoir de transmission », a-t-il affirmé. Christian Clavier explique avoir lui-même à ses débuts dans le métier bénéficié des conseils de ses aînés qui lui ont été bénéfiques.
« Ayant eu la chance d’apprendre mon métier et d’être bien accueilli par des immenses pointures comme Philippe Noiret, Jacques Maillan, Pierre Mondy, Jean Poiret, Michel Galabru, Michel Serrault ou bien Lino Ventura, cela me parait normal, maintenant que je suis un acteur confirmé, de raconter ce que j’ai vu et appris. C’est juste un retour des choses », déclare-t-il.
Le nouveau volet du Qu’est ce qu’on a fait au Bon Dieu devrait bientôt sortir. Mais pas certain que comme les précédentes bandes, Ary Abittan en fasse partie. Le comédien qui était à l’affiche aurait été mis à l’écart par l’équipe. En cause, sa mise en examen suite à l’accusation de viol qui pèse contre lui depuis le mois d’octobre.
Depuis, le comédien s’est fait discret et a même annulé son spectacle. Ary Abittan se serait toutefois rapproché de Christian Clavier pour obtenir de lui quelques conseils dont les détails n’ont pas été révélés. Mais c’était certainement en rapport avec son travail. A l’époque, l’affaire qui l’éloigne des caméras aujourd’hui n’avait pas encore éclaté.

En attendant qu’il soit fixé sur son sort, Ary Abittan a quitté son ancien appartement. Il en aurait trouvé un nouveau toujours dans le VIII arrondissement, renseigne le magazine Paris Match. « Son contrôle judiciaire l’oblige à pointer chaque semaine au commissariat », précise la publication.