De plus en plus mise à l’épreuve des nerfs par le confinement, la première dame ne serait pas loin de craquer.
Obligée de réduire ses mouvements après l’élection à l’Elysée de son époux, Brigitte Macron serait depuis en mal de liberté. La première dame, habituée jadis à des promenades dans les rues de la capitale, a dû changer ses habitudes, se réduisant à « sortir leur chien Nemo » dans les jardins de l’Elysée.
La crise des Gilets jaunes n’est pas venue arranger la situation. Tout au contraire, elle aurait contraint l’épouse d’Emmanuel Macron à « ne plus faire un pas dehors ». Et les nombreuses menaces à l’égard du couple présidentiel, sans ignorer les attaques physiques à leur domicile, ne rassuraient guère.
Brigitte Macron s’est retrouvée comme en condition de « liberté surveillée ». Depuis, les services de sécurité affectés à sa personne « ne la lâchent plus ». Ce qui n’a rien arrangé à la situation de l’ancienne professeure qui a toujours revendiqué sa liberté.
Confinée depuis près d’un mois maintenant à l’Elysée, la première dame n’est pas dans une situation différente, sinon pire. Son sujet de réjouissance ? Que son mari soit «à la maison tous les soirs ». Sa plus grande déception : coupée de ses enfants et de ses petits-enfants avec lesquels elle doit se contenter de vidéoconférences.
Le confinement finira-t-il par avoir raison de Brigitte Macron, qui déjà disait ne se sentir d’aucune aide pour son époux en cette période de crise ? Et son inquiétude pour ses proches n’arrange rien. « Elle est inquiète pour eux évidemment, mais ils ne vont pas renoncer à leur métier », indiquait un proche au sujet des enfants de la première dame.
C’est avec peine que Brigitte Macron, qui ne sortirait plus de l’Elysée, vit le confinement. « Ça lui coûte », confiait fin mars un de ses proches au magazine Elle. « Le chef de l’État n’est pas non plus heureux de cette ‘‘mise à distance’’ (…) Il n’aime pas ça mais il fait attention», signifiait un collaborateur à Elle.