Les rumeurs sur la santé de l’épouse du souverain de Monaco fusent. Cette fois, la princesse est supposée avoir été victime d’une fausse couche.
Charlène de Monaco serait fragilisée en raison d’une fausse couche dont elle aurait été victime l’année dernière, rapporte le magazine people Freizeitwoche. La publication tire cette révélation de Lady Christa Mayrhofer-Dukor, une cousine peu discrète de la princesse Grace, qui aurait elle-même obtenu l’information du prince Albert lors d’un voyage en Autriche.
« Savez-vous qui était sa cavalière. Pas Charlène, mais moi. Nous avons passé toute la journée ensemble », affirme-t-elle. Dans les colonnes du magazine Paris Match, le souverain de Monaco, évoquant la santé de son épouse, avait affirmé que cette dernière est « vraiment épuisée » et que son état nécessitait le repos.
« Un épuisement général, physique et moral. Si bien que nous avons décidé ensemble, et avec nos proches que la meilleure chose serait qu’elle puisse se reposer calmement, hors de Monaco », a-t-t-il confié sans toutefois révéler le lieu où la maman des jumeaux Jacques et Gabriella s’est refugiée pour cette période de répit.
Une zone d’ombre qui favorise la propagation des rumeurs au sujet de la santé de l’ancienne nageuse professionnelle Sud-Africaine. La santé de Charlène de Monaco continue de susciter des interrogations et pour y répondre, un média italien a évoqué la probabilité d’un cancer. « Charlène de Monaco, la piste de la tumeur », a titré la publication.
Le magazine Voici soutenait pour sa part que Charlène de Monaco souffre d’une addiction aux médicaments qui aurait conduit à son internement dans un établissement spécialisé en Suisse. Le prince Albert II a ainsi, lors de l’interview qu’il a accordé à Paris Match, insisté sur la propagation des rumeurs.

« Je veux insister là-dessus car je connais les rumeurs, la princesse ne souffre d’aucune maladie grave ou incurable. Ce n’est pas davantage, un problème de couple », a-t-il dit, avant d’expliquer que les difficultés auxquelles elle fait face aujourd’hui résultent des opérations qu’elle a subies en Afrique du sud suite à l’infection ORL qu’elle a contractée au cours de l’année. « Et des soucis ORL, qu’elle a, de manière chronique, sont venus aggraver la situation ».