Claire Chazal, a marqué les esprits lorsqu’elle était journaliste au JT de TF1. Mais depuis son éviction, la ravissante brune vivrait une période très compliquée. Confrontée à une carrière « moins brillante », la célèbre journaliste aurait du mal à s’épanouir sur France 5, selon un membre de son entourage.
Si sur le plan professionnel ce n’est pas la joie, au niveau personnel, elle a atteint le fond du trou. Le magazine people France Dimanche a consacré un dossier l’ex femme de Patrick Poivre d’Arvor, avec qui elle a eu un fils, et livre des nouvelles peu réjouissantes à son sujet . Selon la publication, Claire Chazal ne supporterait pas l’idée de vieillir.
« Le passage des 60 ans a été très difficile. C’est une dizaine terrifiante. Rien que ce mot ‘Senior!' », a-t-elle lâché, lors d’une interview accordée au magazine people Elle. La vieillesse a également eu de terribles répercussions sur son corps. Passionnée de danse classique, elle n’arriverait plus à réaliser toutes les positions, à cause de ses articulations qui la font souffrir.
D’autant plus qu’elle est toujours un coeur à prendre. Après une relation très médiatisée avec le célèbre animateur, Arnaud Lemaire de quinze ans son cadet, la jolie blonde n’a pas encore retrouvé la chaussure à son pied. Une situation qui pèserait beaucoup sur son moral. Malheureusement, depuis quelques mois, elle est confrontée à un véritable calvaire.
En effet, son ex mari et père de son fils, Patrick Poivre d’Arvor est au centre de toutes les attentions depuis que 22 femmes l’accusent d’agressions se-xuelles et de viols. Le célèbre journaliste nie catégoriquement toutes ses accusations et a pu compter sur le soutien sans faille de Claire Chazal, qui n’a pas hésité à prendre à défense en public.
« Je n’aime pas les accusations sans preuve ni fondement juridique. Je déteste les noms jetés en pâture, à la vindicte populaire et au jugement de l’opinion », a-t-elle annoncé. Avant d’ajouter : « Je comprends très bien qu’il existe des problèmes de domination masculine et que les femmes le ressentent. Je l’ai dit et le redis : je ne peux pas croire que cet homme que je connais bien, professionnellement et personnellement, qui certes aime séduire et convaincre, ait une quelconque violence en lui ».
