Lors de son dernier déplacement, le chef de l’Etat, Emanuel Macron a révélé une nouvelle facette de sa personnalité. D’ailleurs, sa fermeté, dans le cadre d’une discussion avec une femme, n’a laissé personne indifférent. Cette femme semblait être confrontée à une situation désespérée.
A la suite de son passage dans le programme ‘La France face à la guerre’, diffusée sur TF1, animés par les journalistes phares de la première chaîne, Anne-Claire Coudray et Gilles Bouleau, le mari de Brigitte Macron a continué son périple à La Pommeraye, en Maine et Loire, en début de semaine.
« Le président de la République a visité le Centre de préparation au retour volontaire (CPAR) géré par France Horizon et qui accueille des réfugiés ukrainiens. Avant de s’en aller, le chef de l’État est allé à la rencontre des nombreux habitants qui attendaient à la sortie », a rappelé l’hebdomadaire Public.
Une femme, anéantie a tenté d’approcher le chef de l’Etat. « On n’a plus de travail, aidez-nous », a-t-elle lâché. « Vous n’avez plus de travail ? », l’interroge le président de la république. « Pourquoi obliger les soignants à se faire vacciner ? Vous savez très bien que cela ne fonctionne pas. Comment on vit ? S’il vous plaît, laissez-nous reprendre notre travail », a-t-elle poursuivi.
Alors que la jeune femme tentait d’immortaliser cette discussion avec son téléphone, la demande du chef de l’Etat a été sans équivoque. « Si vous voulez parler avec moi, d’abord, le mieux c’est de ne pas me filmer. Par courtoisie. Parce que moi, je viens vous voir gentiment », a-t-il lâché.
« Pardon au temps pour moi », a répondu la jeune femme. Emmanuel Macron a annoncé qu’il comprenait parfaitement « son émotion » puis il a souligné qu' »à court terme l’obligation vaccinale n’allait pas être enlevée ». Le chef de l’Etat a annoncé que cette obligation vaccinale avait été mise en place pour la sécurité des patients mais également pour la sienne.