Nicolas Bedos a récemment rendu hommage à un journaliste célèbre qui serait mal en point.

Laurent Ruquier s’inquiétait dernièrement de l’état de santé de Franz-Olivier Giesbert. Son livre Le dernier été, dans lequel il est question «d’un cancéreux qui plie sous les rafales de la maladie, lui a faire croire que ce dernier n’en avait plus longtemps à vivre. D’un autre côté, l’ouvrage a clairement séduit le comédien et réalisateur Nicolas Bedos. Ce dernier a posté pour lui un message sur son compte Instagram.
«Ce plaisir teinté de fierté de retrouver à chaque livre l’intelligence d’un homme qu’on aime », a posté l’acteur sur les réseaux sociaux. En guise d’image, il a affiché la couverture du livre qu’il tient dans sa main. Et Nicolas Bedos savourerait peut-être le contenu à Airelles, La Bastide de Gordes, où il s’est envolé pour ses vacances.
Il y a un peu plus d’un mois, c’est le cœur lourd, mais dignement, qu’il accompagnait son père jusqu’à sa dernière demeure. A peu près à cette même période, le 6 juin, Franz-Olivier Giesbert était invité dans l’émission de Laurent Ruquier sur France 2, On n’est pas couché. L’animateur avouait alors ce qu’il avait ressenti en parcourant Le dernier été de Franz-Olivier Giesbert.
«Je vais vous dire la vérité. En lisant votre bouquin, j’ai appelé ma copine Gaël, je lui ai dit : « Tu ne veux pas appeler Franz, j’ai peur qu’il soit très malade ». Parce qu’en lisant votre bouquin, je me suis dit : ‘c’est son dernier été, son dernier livre, il va très mal, il va mourir», a affirmé l’animateur de On n’est pas couché qui ne reviendra pas la saison prochaine.
Mais le cancer dont parle Franz-Olivier Giesbert, il l’a vaincu il y a plusieurs années. Aujourd’hui, il assure se porter bien. «Vous ne verrez jamais un cancéreux vous dire « C’est fini’ », a toutefois nuancé l’écrivain et philosophe, reconnaissant être « superstitieux comme tous les cancéreux» face à la probabilité d’une rechute.
Cependant, assure Franz-Olivier Giesbert, «pour l’instant en tout cas il n’y a rien de gros qui se profile (…) Je dis souvent à mes enfants : « Ne me piquez pas, sauf si je n’ai plus ma tête ». Je ne veux pas être piqué, même si je suis sur une chaise roulante’’», a-t-il confié. De quoi apaiser les craintes de Laurent Ruquier qui souffrait déjà de la perte d’un si grand auteur.