En 2019, le célèbre animateur du petit écran, Patrick Sébastien, s’était fait remarqué suite à son éviction de France 2. Leur séparation s’était déroulée avec pertes et fracas et aujourd’hui encore leur rapports sont toujours électriques.

D’autant plus, celui qui a animé » Le plus grand cabaret de France » durant de longues années sur France 2 a décidé de médiatiser son licenciement. Il ne rate aucune occasion pour dénigrer son ancien employeur. Aujourd’hui, il a porté plainte au tribunal des Prud hommes pour licenciement abusif et réclame plusieurs millions de réparation au titre du préjudice qu’il aurait subi.
Patrick Sébastien ne rate pas une opportunité de défier France Télévisions, qui l’a exclu, sans ménagements, de ses programmes après 23 ans d’exercice. Ainsi, alors que depuis 2004, il animait le réveillon à France 2, cette année, l’ancien animateur l’a célébré sur TF1.
Avec plusieurs autres personnalités du petit écran, dont Valérie Damidot et Jean-Luc Reichmann, il a participé au grand bêtisier qui était animé par Karine Ferri et Christophe Beaugrand.
« Aujourd’hui, il y a une ségrégation de la part de la chaîne et vis-à-vis des hommes. Il ne faut pas être un homme. Je regardais les programmes de la semaine dernière, tous les primes, c’est des femmes. Alors, c’est très bien, mais ce n’est plus de la parité », avait-il confié durant une interview accordée à nos confrères du Parisien.
Par ailleurs, l’ex animateur est également revenu récemment, sur la disparition de la famille de sa vie, qui n’était autre que sa mère, Andrée avec qui il entretenait une relation très fusionnelle. Sa disparition l’a fait sombré dans une terrible dépression. Il n’était plus que l’ombre de lui même durant de longs mois.
Patrick Sébastien aurait tenté de « lui mettre un oreiller sur le visage pour l’aider à partir « , a rapporté le magazine people France Dimanche. « Elle m’avait fait faire la promesse que si elle souffrait et que s’il n’y avait plus rien à faire, je l’aiderais », a-t-il confié. Avant d’ajouter : « J’ai essayé. Mais je n’ai pas réussi à aller jusqu’au bout. »