La chanteuse est revenue le 15 mai dans le JT de 13 heures sur TF1 sur la manière dont elle avait vécu le confinement.
France Dimanche la disait « violée dans son intimité » durant cette période. Le magazine affirmait en effet que Sheila avait été « séquestrée et torturée » chez elle en plein confinement. Et que ses ravisseurs, trois hommes cagoulés qu’elle n’avait pu identifier, avaient emporté des objets précieux.
Réussissant à se libérer de ses liens, elle avait appelé la police mais n’avait pas porté plainte. Le magazine s’était alors interrogé sur l’éventualité que ses ravisseurs fussent des créanciers de son fils Ludovic, décédé trois ans plus tôt criblé de dettes.
France Dimanche indiquait par la suite que, profondément choquée, Sheila avait sombré dans un lourd silence et avait couru se réfugier dans sa demeure de Normandie, ne pouvant continuer à rester seule dans sa maison à Paris avec cet horrible souvenir.
Pourtant, prenant la parole sur TF1 sur cette période sous quarantaine qu’a connue la France toute entière, Sheila n’a pas évoqué ce passage. La chanteuse, habituellement très active et dynamique, a plutôt reconnu avoir eu beaucoup de difficulté à « rester enfermée » chez elle.
«Ce qui me faisait peur, c’est que j’ai eu la sensation que les gens n’avaient pas vraiment conscience de ce qui se passait, il y a très peu de gens masqués », a indiqué l’artiste de 74 ans qui n’a pas lésiné sur les moyens pour rester en ligne avec le respect des gestes barrières.
«Moi j’avais des masques, des gants, la casquette, enfin c’était carrément n’importe quoi. Mais je m’en fous si je suis ridicule ! (…) Il y a un moment, il faut penser à soi, mais il faut aussi penser aux autres », a confié l’interprète de Spacer aux équipes du JT de 13h de TF1 venues à sa rencontre.