Après son confinement dans sa résidence Normande provoqué par la crise sanitaire notamment le coronavirus, Sophie Davant ferait sans doute face à d’autres malheureuses nouvelles. En effet le projet de, son émission « la lettre » sera, à ce qu’il semble compromis à cause des mesures de distanciation sociales et des gestes barrières recommandés par les autorités de la santé.

Il est question d’éradiquer définitivement le covid-19. Or, où l’on s’embrasse beaucoup, où l’on se prend dans ses bras. Il y a beaucoup d’émotion. « La lettre est une émission, il faudra donc attendre un peu », indique Sophie Davant. Le corona virus a donc eu raison de ce projet.
Affaire conclue : les mesures de précaution prise par Sophie Davant afin d’éviter d’être contaminée par le coronavirus
Alors que diverses mesures sanitaires ont été prises pour résister à la propagation de Covid-19, Sophie Davant a choisi de rester à l’écart des personnes rencontrées lors du tournage de son émission Affaire conclue, portant sur des ventes aux enchères. L’animatrice a donc pris la résolution de ne plus serrer la main aux personnes participant à l’émission. Cette mesure est également adoptée par tous les membres, y compris les vendeurs.
Il s’agit donc d’une mesure barrière stricte : éviter autant que possible la propagation du virus. Il convient de rassurer les fans quant-à la suspension de l’émission. « Ils ont tourné pas mal d’émissions en avance ! Ils avaient mis les bouchées doubles depuis ces dernières semaines pour anticiper le moment où ils allaient devoir tout arrêter. Pour l’instant, ils ont pas mal de stock », avait ainsi rappelé le service de presse du programme.
Nous pouvons aussi lire sur son compte Instagram le message de Sophie Davan à ses nombreux fans
« Respectons les distances…C’est le moyen que j’ai trouvé, en ayant beaucoup de chance, je le mesure. Avant peut-être le confinement total, arrêt des tournages et autre… Soyez solidaires en respectant les consignes ! Soyons citoyens en faisant barrage à la propagation de ce virus. Mes pensées et mon admiration au dévouement des personnels hospitaliers. Le temps est venu de se replier chez soi, sur soi, sur les nôtres et de se protéger. Nous en sortirons je l’espère plus forts, plus unis, plus aimants ! Je vous embrasse ! « . C’est un message assez fort.
Sophie Davan poursuivra ainsi son émission à la maison en accueillant les vendeurs ceci afin de continuer à plaire à ses nombreux téléspectateurs. Elle précisait à cet effet : « On trouvait dommage de ne pas garder le lien avec nos téléspectateurs. Et intéressant d’être à leur écoute et de voir comment ils vivent ce confinement »
Affaire conclue et Covid-19 : ce fut Sophie Davant qui vendait ses trésors.
Passant son confinement à sa résidence en Normandie, Sophie Davant ne perdait pas de temps à apporter sa contribution dans la lutte contre le corona virus. Ce nouveau format proposé était un moyen permettant à la charmante animatrice de continuer à captiver ses téléspectateurs.
« Pour venir en aide aux personnels soignants et à la recherche contre le covid-19 ! »
Sophie Davant décidait de rejoindre l’action collective. Son compte Instagram affichait ainsi ce message : « Coucou les amis ! J’ai mis en vente aux enchères quinze photos anciennes de Bordeaux, de ma région et du bassin d’Arcachon sur EBay jusqu’au 20 avril au profit de la Fondation de France pour venir en aide aux personnels soignants et à la recherche contre le covid-19 ! «
Dans un autre communiqué, elle précisait : « Ces photographies me tiennent à cœur, car j’ai passé mon enfance sur le bassin d’Arcachon, où nous habitions à l’Institut Océanographique. Mon père étant ornithologue et a contribué à la création de la Réserve naturelle du Banc d’Arguin en 1974. Avec lui, j’ai surveillé les oiseaux, les Sternes Caugek, auprès des guides assermentés ».
« Le Banc d’Arguin représente pour moi le plus bel endroit du monde. »
Sophie Davant a également expliqué que ce choix avait été fait dans sa collection personnelle. L’animatrice de France 2 confie d’avantage : « Par goût, j’ai sélectionné des photos anciennes, des instantanées de la vie, des plages, des parcs à huîtres, des ostréiculteurs, mais aussi de Bordeaux qui est ma ville natale. Le Banc d’Arguin représente pour moi le plus bel endroit du monde ».
Quant-à son projet d’ouvrage, à la dernière nouvelle, l’ex d’Erik Orsenna promettait au Parisien : « J’écris trois heures le matin, trois heures l’après-midi. Et je me rends compte que si je ne fais pas chaque jour ces heures de boulot, ça me manque. J’en suis déjà à 135 pages, et c’est un vrai plaisir ». Espérons la lire un de ces jours.