Sophie Davant serait sortie de son confinement plus mince. Certains craindraient des troubles alimentaires chez l’animatrice. Confinée seule en Normandie dans sa maison près de la mer, Sophie Davant assurait mesurer la chance qu’elle avait. « J’ai la chance d’être confinée près de la mer. Je la mesure ô combien ! Pour autant, je ne vois personne, je ne croise personne… ou à distance. Faites de même ! Je pense très fort à tous ceux d’entre vous, enfermés dans de petits appartements, avec des enfants ! », affirmait-elle.
« Je m’oblige à faire du sport, à rester mince, à me coucher tôt. Je suis respectueuse du public, je veux être agréable », confiait-elle quelques mois plus tôt à TV Magazine. Une hygiène de vie que l’animatrice a préservée durant la période de confinement.
Car même si elle affirmait prendre beaucoup de plaisir à se concocter de succulents plats durant cet intervalle, qu’elle partageait avec ses abonnés sur Instagram, Sophie Davant n’ignore pas moins de faire attention à sa ligne. Juste ce qu’il faut, l’animatrice est resté raisonnable.
Les troubles alimentaires évoqués par Ici Paris, c’est surtout sa fille Valentine qui en a souffert. Un mal qui est apparu chez la jeune fille après le divorce de ses parents en 2012, « après vingt-trois ans d’une relation complice », expliquait l’animatrice.
Valentine à cette époque est lycéenne en classe de terminale. « Elle a ressenti le besoin de tout contrôler, ses notes comme sa nourriture », rappelait Sophie Davant lors d’une interview accordée au Parisien. Si l’effet sur ses études est positif, sur le plan sanitaire par contre elle dépérit.

« Si elle a eu son bac ES avec mention très bien, elle nous a inquiétés en tombant dans l’anorexie jusqu’à devenir très affaiblie. Elle fuyait tous les repas, et cela a été une période difficile», confiait Sophie Davant qui assure qu’aujourd’hui tout est rentré dans l’ordre.